LE ROI CERF

****   « Puisse ce pays sourire aux orphelins », soupire un personnage qui, mis face aux calamités de son temps, se prend à espérer un avenir meilleur. Au sein du genre fantasy où c’est souvent la course à qui sera le plus cynique, ce discours optimiste contribue à rendre Le Roi Cerf encore plus précieux.
Première

****   Le film commence dans les ténèbres, avec des scènes très violentes, et s’illumine ensuite un peu, grâce notamment au personnage de l’adorable Yuna. À travers un scénario complexe et quelques longueurs, il embarque le spectateur dans un voyage épique, marqué par la folie guerrière des hommes et la dangerosité de la nature.
Le Parisien

****   C’est un message universel que délivrent les cinéastes par le biais de séquences intensément esthétiques.
20 Minutes

Synopsis

Van était autrefois un valeureux guerrier du clan des Rameaux solitaires. Défait par l’empire de Zol, il est depuis leur prisonnier et vit en esclave dans une mine de sel. Une nuit, la mine est attaquée par une meute de loups enragés, porteurs d’une mystérieuse peste. Seuls rescapés du massacre, Van et une fillette, Yuna, parviennent à s’enfuir. L’Empire de Zol ne tardant pas à découvrir leurs existences, Il mandate Hohsalle, un prodige de la médecine pour les traquer afin de trouver un remède. Mais Hohsalle et Van, tous deux liés par le fléau qui sévit, vont découvrir une vérité bien plus terrible.

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