Mr GAGA, SUR LES PAS D’OHAD NAHARIN

affiche-mr-gagaFilm de Tomer Heymann
DocumentaireAllemagne, Israël, Pays-Bas – 2016 – 1h43 – VOST
Avec Ohad Naharin

Des racines de sa vocation à son accession à la gloire, de « home movies » parfois déchirants en performances captées avec une énergie cinématographique contagieuse jusqu’au vertige, la splendeur gymnique, politique, poétique de son travail laisse des traces indélébiles. Pleurer devant un documentaire ? Eh bien, oui !
VSD

Laissez-vous transporter vous ne le regretterez pas ! Une formidable invitation à danser.
Elle

« Mr Gaga » vaut mieux qu’un simple documentaire sur un homme d’exception. Par le prisme de l’intime et de l’exhibition, c’est d’abord un film sur la manière dont un artiste cherche à demeurer libre, hors des institutions.  
Transfuge

SYNOPSIS

L’histoire fascinante d’Ohad Naharin, célèbre chorégraphe de la Batsheva Dance Company, dont les performances dégagent une puissance et une beauté inégalées.

CRITIQUE

Il est talentueux, adulé, fascinant. Et aussi un peu glaçant, hautain, revêche. Le chorégraphe israélien Ohad Naharin est, en somme, un excellent sujet de documentaire. Quand il dirige ses danseurs comme lorsqu’il s’oppose à la politique de son pays, il n’est jamais l’homme des compromis, des facilités. Face au réalisateur, qui a obtenu — non sans mal — l’autorisation de le suivre, il se tient sur ses gardes. Ce portrait habile n’en est que plus précieux…

Retracé à travers des images d’archives et des films familiaux, le parcours du chorégraphe suit une logique passionnée et mystérieuse. Il raconta, un jour, à des journalistes l’histoire de son frère jumeau, autiste, avec qui seule sa grand-mère avait le pouvoir de communiquer, en dansant. Mais de frère jumeau, il n’en avait jamais eu… Aux secrets souvent douloureux de la vie, la danse semble répondre comme un langage lumineux, mais pas forcément explicite. Mais toutes les répétitions et les spectacles sont traversés par une énergie vitale, magnifique. La « gaga dance » inventée par le chorégraphe — c’est le premier mot qu’il prononça dans sa vie — est une fête du corps, à la fois entraînement sportif et recherche artistique. L’important est de bouger. Ce film en donne très envie. — Frédéric Strauss

Fréderic Strauss – Télérama

SÉANCES

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