THE AMAZING SPIDERMAN: LE DESTIN D’UN HEROS

affiche The Amazing SpidermanFilm de Marc Webb
(Fantastique / Action – USA – 2014 – 2h21 – V.F. – 2D & 3D)
Avec: Andrew Garfield, Emma Stone, Jamie Foxx

Ce n’est un secret pour personne que le combat le plus rude de Spider-Man est celui qu’il mène contre lui-même en tentant de concilier la vie quotidienne de Peter Parker et les lourdes responsabilités de Spider-Man. Mais Peter Parker va se rendre compte qu’il fait face à un conflit de bien plus grande ampleur. Être Spider-Man, quoi de plus grisant ? Peter Parker trouve son bonheur entre sa vie de héros, bondissant d’un gratte-ciel à l’autre, et les doux moments passés aux côté de Gwen. Mais être Spider-Man a un prix : il est le seul à pouvoir protéger ses concitoyens new-yorkais des abominables méchants qui menacent la ville.  Face à Electro, Peter devra affronter un ennemi nettement plus puissant que lui.  Au retour de son vieil ami Harry Osborn, il se rend compte que tous ses ennemis ont un point commun : OsCorp.

« Spider-Man bondit toujours d’un gratte-ciel à l’autre. Peter Parker, son alter ego, un jeune homme presque ordinaire, joué par Andrew Garfield, a du mal à vivre au quotidien auprès de son amoureuse, Gwen Stacy (Emma Stone), qui envisage de le quitter. C’est sur ces deux niveaux que le réalisateur Marc Webb, à nouveau aux commandes après le succès du « reboot » de la franchise en 2011, joue à fond. Et comme le veut le cahier des charges, le superhéros doit combattre un méchant, Electro (Jamie Foxx), plus puissant que lui. S’ensuivent une série de séquences où ils s’affrontent, à grand renfort d’effets spéciaux époustouflants. Ce film serait de facture on ne peut plus classique si les scénaristes n’avaient pas eu l’idée de raconter un aspect plus sombre de la vie de Parker – Spider-Man : la disparition de ses parents. C’est d’ailleurs la toute première séquence, très impressionnante, à bord d’un avion. On comprend alors mieux la complexité du personnage. L’alchimie du couple Peter Parker – Gwen Stacy est plus forte que dans le précédent volet, et les méchants sont au diapason. Mention spéciale à Dane DeHaan, alias le Bouffon vert. Un film spectaculaire donc, teinté d’humour, mais un tantinet trop long.
Alain Grasset – Le Parisien

Vernoux (espace culturel Louis Nodon)
mercredi 28 mai à 18h (3D)
vendredi 30 mai à 21h (3D)
samedi 31 mai à 18h (3D)
lundi 02 juin à18h (2D)

Lamastre (centre culturel)
samedi 31 mai à 21h (2D)
dimanche 01 juin à 17h (2D)

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