« La Haine » a pour lui la force et l’énergie de porter le fer dans la plaie et, plus encore, de donner la parole à des personnages qui ne l’avaient guère prise jusqu’à présent, de faire le film à partir d’eux, avec eux, et de leur point de vue à eux.
Cahiers du Cinéma
Kassovitz exploite cette veine du cinéma « qui a quelque chose à dire », quelque chose de réel, de vécu.
Positif
La Haine est un film réellement grave et c’est plutôt par la peau du cou que par la main que Kassovitz nous saisit, comme si c’était la seule manière de regarder la merde en face.
Libération
Synopsis
Abdel Ichah, seize ans est entre la vie et la mort, passé à tabac par un inspecteur de police lors d’un interrogatoire. Une émeute oppose les jeunes d’une cité HLM aux forces de l’ordre. Pour trois d’entre eux, ces heures vont marquer un tournant dans leur vie…