L’ANTILOPE D’OR, LA RENARDE ET LE LIEVRE

****   Derrière L’Antilope d’or, la Renarde et le Lièvre, étrange titre en forme d’attelage animalier, façon fable de La Fontaine, se cachent deux pépites issues des studios moscovites Soiouzmoultfilm, dont le fabuleux La Renarde et le Lièvre (1973), de Youri Norstein.
Télérama

****   Entre anthropomorphisme au service de la satire humaine d’Atamanov, et symbolisme de Youri Norstein, en tant que comédie des apparences, L’Antilope d’or, la renarde et le lièvre offre une richesse fabuliste à la fois par la stylisation des images, du mouvement, et de la mise en scène, et par la posture du conteur : un hommage dépaysant à l’animation soviétique.
Culturopoing.com

****   Regroupés dans un même programme, deux courts-métrages oubliés, qui vont ravir les plus jeunes, témoignent de l’excellence de l’animation soviétique entre 1930 et 1990, et de son influence sur le genre.
Le Parisien

Synopsis

Après le succès du Petit hérisson, un nouveau programme somptueux et envoûtant en papier découpé et dessin animé. De la taïga à la jungle, deux magnifiques incarnations de la force de l’amitié face à l’adversité à savourer dès 3 ans.

La Renarde et le lièvre d’Yuri Norstein (1973, 12′)
A l’arrivée du printemps, la renarde jette le lièvre hors de chez lui et s’installe dans sa maison. Tour à tour, le loup, l’ours, le taureau et le coq vont tenter de l’aider. Mais la renarde n’est pas si facile à déloger !

L’Antilope d’or de Lev Atamanov (1954, 31′)
Au temps des Mille et Une Nuits, un maharaja avide poursuit une antilope dont les sabots produisent des pièces en or. Il capture son ami, un petit garçon, en espérant qu’il le mène à l’animal magique.

Bande annonce

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