LES INTRANQUILES

***** Imprévisible, fiévreux ou abattu, Damien Bonnard excelle en homme luttant pour ne pas se dissoudre dans le lithium, et Leïla Bekhti, constamment sur le qui-vive, bouleverse en victime collatérale.
Télérama

***** Le fait est que Les Intranquilles donne le sentiment d’aimer ses personnages. Un élan rare dans l’œuvre de Joachim Lafosse, d’autant plus remarquable qu’il ne fragilise pas son récit mais le renforce, au contraire.
Positif

****   Les Intranquilles vous terrasse d’émotion(s) précisément car il ne sacrifie à aucune facilité larmoyante. Parce qu’on le vit en immersion dans la tête de Damien, dépassé par ce qu’il vit comme et dans celle de Leïla, refusant d’abandonner le navire malgré les tempêtes successives.
Première

Synopsis

Leila et Damien s’aiment profondément. Malgré sa fragilité, il tente de poursuivre sa vie avec elle sachant qu’il ne pourra peut-être jamais lui offrir ce qu’elle désire.

Précédé du court métrage : CANTE

Film de Teresa Baroet
05’00 / Animation, conte, fable / Estonie / 2019
Un homme anonyme, seul dans l’environnement stérile d’un bureau, se confronte à sa propre existence par le biais de la tradition. Il entend le cante alentejano, un chant traditionnel qui le guide à travers les gestes monotones et dénués de sens du travail et de la société moderne.

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