LES MINIONS

Affiche Les MinionsFilm de Pierre Coffin & Kyle Balda
(Animation – USA – 2015 – 1h31 – V.F. – 2D & 3D)
Film tout public à partir de 5 ans

A l’origine de simples organismes monocellulaires de couleur jaune, les Minions ont évolué au cours des âges au service de maîtres plus abjectes les uns que les autres. Les disparitions répétitives de ceux-ci, des tyrannosaures à Napoléon, ont plongé les Minions dans une profonde dépression. Mais l’un d’eux, prénommé Kevin, a une idée. Flanqué de Stuart, l’adolescent rebelle et de l’adorable petit Bob, Kevin part à la recherche d’un nouveau patron malfaisant pour guider les siens. Nos trois Minions se lancent dans un palpitant voyage qui va les conduire à leur nouveau maître : Scarlet Overkill, la première superméchante de l’histoire. De l’Antarctique au New York des années 60, nos trois compères arrivent finalement à Londres, où ils vont devoir faire face à la plus terrible menace de leur existence : l’annihilation de leur espèce.

« C’est tout petit, tout rond, tout jaune, ça porte des salopettes et de grosses lunettes. Ça babille dans un curieux langage, entre le gazouillis absurde et l’esperanto pour les nuls. Les Minions, bataillon rigolo au second plan de Moi, moche et méchant (1 et 2), sont devenus immensément populaires. Les voici à présent héros de leur propre film d’animation, lancés dans une quête épique et farfelue : trouver le Maître. Parce que, voyez-vous, en anglais, minion ne signifie pas du tout « mignon », mais « larbin », «sous-fifre ». Ces gugusses couleur banane sont nés pour servir et aduler le premier génie du Mal venu. Sans un méchant dans les parages, ils s’étiolent, ils dépérissent. C’est la grande idée comique du film, développée en introduction — hila­rant accéléré de leurs «patrons» successifs, des dinosaures à Napoléon. Cette fois, la mission sacrée mène un trio de Minions dans les jupes d’une drôle de vamp cambrioleuse, en pleine Angleterre des sixties. Bourré de références ludiques, de James Bond aux Beatles en passant par Gainsbourg, l’hommage pop et pimpant au Swinging London est plutôt réussi. Et tant pis si le rythme frénétique (pas une image sans cabrioles, explosions et autres gags qui font boum) use parfois l’œil du « minionophile » le mieux disposé. »
Cécile Mury – Télérama

Vernoux (espace culturel Louis Nodon)
mercredi 05 août à 18h (3D)
samedi 08 août à 18h (3D)
dimanche 09 août à 11h (2D)
lundi 10 août à 18h (3D)

Lamastre (centre culturel & cour de l’école publique)
vendredi 07 août à 21h30 (2D – plein air cour de l’école)
dimanche 09 août à 18h (2D)

Dornas (place de la fontaine – plein air)
mercredi 05 août à 21h30 (2D)

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