Entre les séquences de combat, les joutes verbales entre les personnages et quelques notes d’humour, on ne s’ennuie pas une seconde dans ces « Trois mousquetaires » incroyablement modernes.
Quinze minutes de grand spectacle qui filent à la vitesse de la lumière, et rivent les spectateurs au siège. Et puis, enfin, après un épisode centré sur D’Artagnan, ce deuxième épisode multiplie les points de vue, les péripéties et offre (enfin !) un rôle à leur mesure à Duris et Marmaï. Le mot fin s’inscrit sur l’écran, on en redemande. A suivre donc ?
Milady vaut bien D’Artagnan. Parce qu’on ne change pas une formule qui marche, on retrouve une dramaturgie qui met l’accent sur les rebondissements aussi bien historiques que sentimentaux, une mise en scène élégante et sombre qui ne laisse pas de temps mort, les scènes d’assaut sur les remparts en mettent plein les yeux.
Synopsis
Du Louvre au Palais de Buckingham, des bas-fonds de Paris au siège de La Rochelle… dans un Royaume divisé par les guerres de religion et menacé d’invasion par l’Angleterre, une poignée d’hommes et de femmes vont croiser leurs épées et lier leur destin à celui de la France.