Véritable déclaration d’amour au septième art pleine de trouvailles et de bizarreries génialissimes, Everything Everywhere all at once est le genre de claque cinématographique qui fait incroyablement du bien. Le Multiverse comme vous ne l’avez jamais vu sur grand écran.
Everything Everywhere All at Once réussit l’exploit d’être un pur chaos organisé, un bijou d’orfèvrerie tourné vers le n’importe quoi pour pleinement embrasser son délire cosmique… et revenir à la simple échelle de ses touchants personnages. Brillant.
Un film plein comme un oeuf, gros foutoir à l’échelle cosmique mené tambour battant, et dont la grande réussite tient à l’exploration de l’extraordinairement grand – le multivers tout entier – pour régler une affaire a priori infiniment petite – la crise existentielle d’une mère de famille d’origine étrangère, engoncée dans sa vie.
Synopsis
Evelyn Wang est à bout : elle ne comprend plus sa famille, son travail et croule sous les impôts… Soudain, elle se retrouve plongée dans le multivers, des mondes parallèles où elle explore toutes les vies qu’elle aurait pu mener. Face à des forces obscures, elle seule peut sauver le monde mais aussi préserver la chose la plus précieuse : sa famille.