INDIANA JONES ET LE CADRAN DE LA DESTINEE

***** Harrison Ford, 80 ans, y joue délicieusement avec son âge et forme un duo épatant avec une Phoebe Waller-Bridge qui dynamite le récit grâce à une énergie inépuisable et un solide sens du second degré. Résultat : on se régale d’un bout à l’autre…
Le Parisien

***** On retrouve tous les arguments qui font le succès de la saga : l’aventure, l’action, l’humour, la chance pour une grosse tranche de cinéma. Le bon vieil Indiana est toujours aussi distrayant.
Ouest France

****   Un volet (sans doute final) qui fait honneur à ses prédécesseurs, en souffrant de défauts semblables mais en rendant surtout hommage comme il se doit aux meilleurs moments de la saga, et en offrant à son héros la meilleure conclusion possible. Des prises de risque, des maladresses, des clins d’œil trop appuyés… mais le tout avec une certaine intelligence, et dans l’enthousiasme général qui caractérise les aventures du professeur Jones.
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Synopsis

Après avoir passé plus de dix ans à enseigner au Hunter College de New York, l’estimé docteur Jones, professeur d’archéologie, est sur le point de prendre sa retraite et de couler des jours paisibles.

Tout bascule après la visite surprise de sa filleule Helena Shaw, qui est à la recherche d’un artefact rare que son père a confié à Indy des années auparavant : le fameux cadran d’Archimède, une relique qui aurait le pouvoir de localiser les fissures temporelles. En arnaqueuse accomplie, Helena vole l’objet et quitte précipitamment le pays afin de le vendre au plus offrant. Indy n’a d’autre choix que de se lancer à sa poursuite. Il ressort son fedora et son blouson de cuir pour une dernière virée…

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