***** En prétendant épouser la forme du conte de fées, « Riddle of Fire » convoque une constellation de genres dans une mosaïque particulièrement onirique, où s’entremêlent souvenirs, fantasmes et symboles propres au rêve : un hommage à l’enfance, par la peinture de son incommensurable imagination, de ses propres lois et et propres croyances. Culturopoing.com
**** Dans cette partie délirante de jeu de rôle à hauteur d’enfant, Weston Razooli sublime autant ses jeunes acteurs qu’un imaginaire juvénile débridé. Riddle of Fire redéfinit à sa manière le terme “revigorant”. Ecran Large
**** Brouillant genres et références, Riddle of Fire ne tombe jamais dans le pastiche. Un film d’aventures inclassable et d’une fraîcheur réjouissante. Les fiches du cinéma
Synopsis
Il était une fois un trio d’enfants cherchant à craquer le code parental de leur nouvelle console et aussi la parfaite recette de la blueberry pie, une secte de braconniers qui ne cessent de se chicaner, une petite fille qui a des dons elfiques… Un premier long métrage dont le budget est aussi lilliputien que sont géantes sa sophistication formelle et sa liberté épique. Comme si, dans une forêt enchantée du Wyoming, Tom Sawyer, le Club des cinq et les Goonies s’étaient donné rendez-vous pour faire un jeu de plateau autour d’un feu de camp.