LE NOM DE LA ROSE

***** un succès mondial, un pari héroïque, impossible et magnifiquement gagné.
Le Monde

***** Annaud confirme surtout son rejet du sérieux, son attrait pour le gai, sa passion pour le rire.
Telerama

***** Ce quatrième long métrage de Jean-Jacques Annaud n’en demeure pas moins une fresque à grand spectacle plutôt réussie
Les Cahiers du Cinéma

Synopsis

En l’an 1327, dans une abbaye bénédictine, des moines disparaissent. Un franciscain, Guillaume de Baskerville aidé du jeune novice Adso von Melk mène l’enquête. C’est l’époque où l’Eglise, en pleine crise, se voit disputer son pouvoir spirituel et temporel. C’est aussi l’apogée de l’inquisition. Un thriller moyenageux très attendu préparé avec soin pendant trois ans, respectant le mieux possible l’époque et qui a coûté la bagatelle de dix-neuf millions de dollars. C’est également un film de Jean-Jacques Annaud toujours passionnément entraîné par ses sujets.

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