Ce deuxième volet de la saga qui précède celle de « Harry Potter », toujours scénarisé par J.K. Rowling, s’avère aussi spectaculaire que le premier, avec un côté plus profond et surtout plus sombre.
Visuellement excitant, et dramatiquement puissant, Les Crimes de Grindelwald est satisfaisant à presque tous les niveaux.
Les plus belles séquences se déroulent dans un Paris haussmannien très Art nouveau : les fontaines Wallace ouvrent sur un ministère français de la Magie inspiré du Grand Palais, et une superbe statue néoclassique est la porte d’un monde de fête foraine teinté d’orientalisme rappelant Freaks.
Synopsis
1927. Quelques mois après sa capture, le célèbre sorcier Gellert Grindelwald s’évade comme il l’avait promis et de façon spectaculaire. Réunissant de plus en plus de partisans, il est à l’origine d’attaque d’humains normaux par des sorciers et seul celui qu’il considérait autrefois comme un ami, Albus Dumbledore, semble capable de l’arrêter.